Ce document de politique générale examine l’impact des lois qui criminalisent le travail du sexe. Il reflète les données collectées lors d’une consultation menée en ligne auprès des membres de NSWP. Ce document examine l’impact de la criminalisation à trois moments distincts : la surveillance et le contrôle policier des travailleurSEs du sexe avant les arrestations, les interactions avec le système judiciaire et, la libération et le retour dans la communauté. Ce document aborde les divers domaines du droit et les pratiques des forces de l’ordre qui ont un impact disproportionné sur les travailleurSEs du sexe, notamment les lois sur l’immigration, le contrôle policier des espaces publics, les lois anti-LGBTQ, la criminalisation du VIH et les codes religieux.
On trouvera dans ce document :
- Introduction
- La surveillance, le contrôle policier et la culture de l’impunité renforcent le risque de violence
- La criminalisation crée une culture de l’impunité
- Les forces de l’ordre auteurs de violence
- L’impact du contrôle policier sur l’évaluation des risques et les prises de décision des travailleurSEs du sexe
- Les politiques qui criminalisent les clients augmentent le risque de violence et le risque de contraction du VIH
- L’impact de la surveillance et du contrôle policier sur le risque de contraction du VIH
- Les préservatifs saisis comme preuve de culpabilité
- La criminalisation comme obstacle à la mise en œuvre des soins, du traitement et des programmes
- La vulnérabilité des travailleurSEs du sexe pendant les arrestations, la procédure judiciaire et les détentions
- Le dépistage obligatoire du VIH et des IST
- L’impact de la détention sur la santé des travailleurSEs du sexe
- La violence en détention
- La vulnérabilité des travailleurSEs du sexe à la sortie du système judiciaire
- Les recommandations
- Conclusion
Vous pouvez télécharger ce document PDF de 21 pages ci-dessus. Cette ressource est disponible en anglais et sera bientôt disponible en chinois, en français, en russe et en espagnol.
Ce document a été traduit en français par David Boudon.