Document de politique generale La decriminalisation des tierces parties

Ce document de politique générale fait le point sur les travaux de recherche effectués sur la décriminalisation des tierces parties. Il a pour objectif d'expliciter les raisons pour lesquelles NSWP appelle à la décriminalisation des tierces parties.  Il traite des effets néfastes que la criminalisation des tierces parties peut avoir sur les travailleurSEs du sexe. La conclusion de ce document fait le point pour démontrer que décriminaliser les tierces parties, c'est assurer la protection des droits des travailleurSEs du sexe, c'est leur donner la possibilité de refuser des conditions de travail abusives et l'exploitation et c'est leur donner un plus grand contrôle sur leur environnement de travail. Un Guide communautaire est aussi disponible ici.

On trouvera dans ce document :

  • Introduction
  • Qui sont les tierces parties ?
  • La criminalisation des tierces parties : un obstacle à la prévention du VIH
  • La criminalisation des tierces parties : un obstacle à la sécurité des travailleurSEs du sexe
  • Les travailleurSEs du sexe tombent sous le coup des lois sanctionnant les tierces parties
  • Les amiEs et les membres de la famille des travailleurSEs du sexe peuvent tomber sous le coup des lois sanctionnant les tierces parties
  • La police peut se servir des lois criminalisant les tierces parties pour limiter l'accès des travailleurSEs du sexe à certains services comme l'accès au logement
  • La relation avec les tierces parties lorsque la décriminalisation est en place
  • Conclusions et recommandations

Ce document sera utile aux décideurs politiques et aux législateurs qui souhaitent en savoir plus sur l'impact de la criminalisation des tierces parties sur les travailleurSEs du sexe. Il sera également utile aux travailleurSEs du sexe et aux militantEs pour les droits des travailleurSEs du sexe qui veulent faire campagne contre la criminalisation des tierces parties.

Vous pouvez télécharger ce document de 15 pages en PDF ci-dessus. Cette ressource est disponible en anglais, en chinois, en français, en russe et en espagnol. Ce document a été traduit en français par David Boudon.